lundi 13 septembre 2010

L'oiseau de feu


Voici les profondeurs terrestres, les profondeurs viscérales et les profondeurs astrales dansant ensembles dans un amas d'éléments vitaux alliant rudesse, intensité et vapeur.

L'oiseau de feu nous montre le chemin, englobe notre être pour nous sortir de l'inconscient où nous sommes cependant trop souvent confortables. Le chemin vers la conscience est long et dangereux si nous ne transformons pas le crapeau en prince. La pique en bois dirigée vers cette conscience astrale peut aussi être vue comme une perche que nous tend la nature.
Pourquoi aller chercher bien loin ce que nous avons en nous et sous la main. Ouvrons l'oeil!

Anywhere the wind blows


Fécondation de l'être secret en toute profondeur...en toute douceur. Détermination douce, le but est bien visible et les cascades de l'âme aussi.

L'embryon se forme, la chrysallide de compose et s'accroche, persuadée que son papillon, âme en transition, sera un chef d'oeuvre de paix intérieure.

L'éclat du mystère


L'âme n'est ni sombre ni claire, ni chair ni sang, ni belle ni laide, elle EST
L'âme ne pleure pas, elle se fraye un chemin
L'âme de rit pas, elle bouge
L'âme ne vit pas, elle explore
Alors allons à la découverte de nos profondeurs...

1 commentaire:

  1. Mon amie,

    Je pose le front sur le carreau de ta vitre embuée.
    Je devine le pâle tracé de la lune: ronde, en quartier ou toute petite mais toujours présente et réconfortante.
    Pourtant, la pluie s'empare des couleurs, les innonde, les délave subtilement et...pleurent les sentiments...
    Les émotions m'éclaboussent le visage à travers la puissance du feu dont les nuances orangées, fuchsia et surtout son rouge, tantôt rêve passionné, tantôt blessure profonde, se bousculent dans ce cadre trop étroit.
    Tout à coup, le blanc me fige, me glace. Je suis seule sur la banquise, dans le noir. J'ai froid, j'ai peur, je voudrais crier ma détresse. Mes mots ricochent contre les parois.
    C'est alors que j'aperçois une faible lueur: la lune omniprésente veille sur mes pas. Je suis apaisée.
    Reviennent le couleurs, et avec elles les dégradés de turquoise, le vert tropical, la chaleur de la terre, l'éclat des planètes, le scintillement des poussières d'univers et des gouttes d'éternité...
    Les yeux remplis d'étoiles, chancelante et troublée, je retire mon front de la vitre... qui est tiède à présent.

    Avec toute mon affection.
    Sandy Pacqué

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